• Nous avons commenté des affiches de propagande et réalisé une petite capsule audio, mais pour raison de confidentialité, nous l'avons stocké en lieu sûr, au siège du journal, rue de la Râperie, à Oissery.


    votre commentaire
  • Les affiches de propagandeNous avons commenté des affiches de propagande et réalisé une petite capsule audio, mais pour raison de confidentialité, nous l'avons stocké en lieu sûr, au siège du journal, rue de la Râperie, à Oissery.


    votre commentaire
  • PROLOGUE- Les personnages qui sont assis là-bas, ont une histoire bien singulière, je vais vous la raconter. L'enfant qui est caché là-bas, a 10 ans, il s'appelle Samuel, et a connu toutes les restrictions envers les juifs : comme l’interdiction d’aller dans les parcs, le port obligatoire de l’étoile jaune. Il a également subi les moqueries de ses camarades jusqu'à ce que les juifs soient expulsés des écoles. Ils ont été se cachés et les parents sont partis chercher de la nourriture. Il y a deux Nazis aussi qui sont en train de regarder la cabane. Le nazi, le plus jeune s'appelle Gustav, il a 25 ans, il a fait les jeunesses hitlériennes. Il croit dur comme fer aux idées d'Hitler. Le nazi le plus vieux a 37 ans, il se nomme Philip, il fait partie de l'armée nazie et a été contraint de quitter sa femme et ses enfants en 1940 pour occuper la capitale, Paris.

     

    PHILIP - Je crois avoir entendu un bruit.

    GUSTAV - Où ça ?! Je n'ai rien entendu.

    PHILIP- Viens, on va vérifier derrière la cabane. (Ils s'approchent et trouvent l'enfant.) Où sont tes parents ?! Je sais que tu es juif !

    SAMUEL- Je ne suis pas Juif ! Ici c'est ma maison ! Mes parents m'ont laissé car ils n'avaient plus assez d'argent à cause de la guerre !

    GUSTAV - Ah bon ? C'est étrange... Qu'est-ce que c'est que ça ?! Ce n’est pas une étoile ! (Il le prend par le col et lui montre la veste.)

    PHILIP - (Il fait signe à son coéquipier de se calmer.) Ah ! Tu es en train de nous dire que ton ami (En hésitant) ... Aaron c'est ça, nous a menti ?

    GUSTAV - C'est donc à lui que l'on doit s'en prendre ?

    SAMUEL - (choqué) Mon meilleur... je n'y crois pas, il m'a trahi.

    PHILIP - Je sais, c'est dur ! Mais ne t’inquiète pas, nous on est là, on va t’emmener dans un endroit bien meilleur (Il dit cela d’un ton mielleux.)

    SAMUEL - Très bien, je vous avoue tout, je ne pourrai pas vivre avec ça, je suis bien un juif, faites de moi ce que vous voulez.

     

     CHŒUR - Samuel finit alors ses jours dans les wagons à bestiaux, n'ayant pas survécu au voyage de l’enfer. Gustav quant à lui, est monté en grade. Philip lui en a eu marre, il est retourné en Allemagne pour retrouver sa famille et a ensuite déménagé dans un autre pays.


    votre commentaire
  • PROLOGUE-  La personne assise là-bas, c'est Pierre, un résistant. Il a commis plusieurs sabotages de trains qui transportaient des explosifs et des armes des Nazis. Il s'est fait attraper par une patrouille qui faisait une ronde pour surveiller les voies ferrées. Ici c'est Vladimir, un nazi, il obéit aux ordres d'un autre nazi plus expérimenté car il est plus âgé. Son supérieur se trouve à côté de lui, il s’appelle Igor. Il a fait les jeunesses Hitlériennes et il embrigade des jeunes Nazis.

     

    IGOR- Vas me chercher ce foutu résistant! (en montrant du doigt le résistant)

    PIERRE- Ne me touchez pas, je ne dirai rien! (en l'attrapant par le col, puis le bousculant par terre et lui ordonnant de s'assoir)

    VLADIMIR- Tais-toi et écoute ce qu'on a à te dire!

    IGOR- ( en s'adressant à Pierre) Calme-toi, nous voulons juste discuter, nous ne te ferons rien de mal. Dis-nous juste

     qui sont tes complices? (avec un ton mielleux et un sourire en coin)

    PIERRE - Pourquoi j'aurais besoin de complices ? Je suis assez grand pour agir tout seul, non ? (avec un ton moqueur)

    VLADIMIR- ( Il s’énerve en renversant la table par terre.) Ne te fous pas de notre gueule ! Tu n'as pas l'air assez intelligent pour préparer un plan comme celui-ci. Dénonce tes complices! Sinon nous irons rendre une petite visite à ta famille. (en lui caressant l'épaule.)

    PIERRE- Ne pensez pas une seule seconde à ma famille sinon... ( Furieux, il se lève et lance sa chaise par terre. )

    IGOR- Tu te crois où ! Pour nous menacer comme ça ! (en le repoussant par terre)

    VLADIMIR- Un jour ou l'autre tu vas finir par le regretter! (en rigolant et le fixant droit dans les yeux )

     

    Le chœur- Suite à l'arrestation, Pierre n'a pas dénoncé ses complices.Il a fait preuve de résistance et de provocation. Suite à cette résistance, Igor a ordonné à Vladimir d'aller chercher sa famille. Il a exécuté Pierre devant ses proches, malgré cela, il a gardé le sourire pour lui montrer que la mort ne lui faisait pas peur. Son fils, Mathias, 15 ans, ayant assisté à l'exécution, a décidé de le venger en rejoignant le groupe de résistants de son père.

     


    votre commentaire
  •  

    LE PROLOGUE- Celui qui est assis là-bas dans le coin de la cour est Aaron, un enfant juif. Depuis l’arrivée des Nazis, il reçoit des insultes quotidiennes. Cela fait un moment que les nazis inspectent l’école où il se trouve. Les nazis dont je vous parle depuis le début, c’est eux, là-bas. Ils s'appellent Rudolf et Olaf. Olaf était plus modéré par rapport à Rudolf qui aimait par-dessus tout la violence.  Ceux- ci ont interrogé un par un chaque enfant de l’école, jusqu’à ce qu’un groupe d’enfant dénonce Aaron. Les parents de celui-ci sont cachés dans une petite maison appartenant à des Français, qui les cachent.  Ils s’occupent de leur fils, malgré les nazis qui essayent de les trouver. 

     

    RUDOLF :( Il demande très gentiment à Aaron, en lui souriant. ) Quel est ton nom, mon petit ?

     

    AARON : (Il  est effrayé, et regarde les deux hommes qui lui font face. )  Je… Je m’appelle… Je m’appelle Aaron.

     

    OLAF : (Il regarde Rudolf, les deux hommes font touts les deux un hochement de tête, regardent à nouveau le garçon, et parlent calmement) Tu vas venir avec nous et tu vas nous dire où sont tes parents, d’accord ?

     

    AARON : (Il se défend avec un ton assuré.) Mais vous devez vous tromper, mes parents sont morts, je suis orphelin depuis cinq ans ! Je vis à l’orphelinat, vous pouvez appeler !

     

    RUDOLF : (Il lui crie  tout près de son visage pour lui faire peur) Ca n’empêche que tu es un  juif et qu’on va s’occuper de ton cas.

     

    OLAF : Ne t’inquiète pas, nous allons t’aider.

     

    AARON : (Il hurle à son tour.) Non je ne suis pas juif du tout ! Vous mentez ! Je n’ai même pas d’étoile !

     

    RUDOLF : Très bien. Ce sont tes copains qui ont menti alors ! Donc on va s’occuper de leur cas à eux, on va les torturer.

     

    OLAF : ( Il le questionne, en lui prenant l’épaule par la main et en le fixant)Tu pourras vivre avec ça ? On le fera devant toi !

     

    AARON : (il annonce cela en bégayant et en pleurant) Ne leur faites pas de mal, je vous en prie ! Oui, c’est vrai, je suis juif, je l’avoue ; laissez-les tranquille !

     

    Le CHOEUR: Les deux nazis ont alors emmené l’enfant dans un camp de transit. Il fut envoyé plus tard dans les trains où il fut traité comme un animal. Il n’avait jamais  vécu un tel supplice. Il fut déporté en Pologne dans le camp d’Auschwitz. La rumeur de son embarquement propagée, les parents d’Aaron s’engagent dans la résistance ; car ils ne veulent pas que cette tragédie se répète avec une autre famille.

     


    votre commentaire