• Le groupe Jean-Pierre est composé de:

    Charline Mariello née en Octobre 1922 , elle est photographe et a décidé de créer ce blog car ça lui tient à cœur.

    Maëly Dollé née en Mars 1922, est une journaliste. Elle a décidé de créer ce blog car c'est son rêve depuis toujours.

    Mehdi Hamra né en Juillet 1921 est un reporter. Il a voulu participer à la création du blog parce qu'il aime partager ce qu'il voit.

    Maxime Thomelin né en Septembre 1922 est Journaliste. Il est membre du blog parce que ça l'intéresse.

    Alexandre Giboz né en Novembre 1922 est photographe. Il a participer au projet pour dénoncer les crimes contre l'humanité.


    votre commentaire
  • Dans le cadre de l'EPI nous devions réalisé un film décrivant l'arrestation d'un résistant ou d'un Juif. Nous ne l'avons pas publié sur le blog pour des raisons de respect du droit à l'image de personnes mineures. Mais il est accessible sur demande auprès du conservateur en chef des oeuvres cinématographiques de la société EPI et tous les films seront projetables le jour du festival de Oissery le 8 juin.

    Réalisation d'un film


    votre commentaire
  •     Ce matin, j'ai eu la grande surprise de recevoir une carte postale de mon ancienne collègue, Charline. Après la séparation du groupe, nous nous sommes dispersés dans plusieurs endroits. Je n'avais eu de nouvelles depuis ce jour. Charline est allée en Algérie et m'a raconté ce qui se passait là-bas après leur indépendance.

     

    Des nouvelles après une séparation


    votre commentaire
  •  

       Aujourd'hui, en nous promenant dans les rues de Paris, nous avons aperçu ce tract (ci-joint). Je trouve que ce tract est très représentatif de la situation actuelle de la France, une France ravagée par les Allemands qui imposent leurs lois sur notre pays. Cette affiche insite les français à se battre pour leur pays, pour leurs valeurs.



    votre commentaire


  • votre commentaire
  • J'ai décidé d'écrire une carte postale à une ancienne amie à moi pour lui expliquer comment

    l'Algérie était devenue depuis son indépendance.


    votre commentaire
  • Carte postale Maxime


    votre commentaire
  •  

     

    Mise en Scène du Dialogue - Maxime et Alexandre

     

     

     

     

    Le lien de la vidéo n’a pas peut être publié car nous n’avons pas les droits à l’image.

     

     

     

    Le groupe examinateur à trouvé que les textes avaient été bien appris, ainsi que le jeu d’acteur, malgré des difficultés pour entendre les acteurs.

     


    votre commentaire
  • Les affiches de propagandeNous avons commenté des affiches de propagande et réalisé une petite capsule audio, mais pour raison de confidentialité, nous l'avons stocké en lieu sûr, au siège du journal, rue de la Râperie, à Oissery.


    votre commentaire
  • PROLOGUE- Les personnages qui sont assis là-bas, ont une histoire bien singulière, je vais vous la raconter. L'enfant qui est caché là-bas, a 10 ans, il s'appelle Samuel, et a connu toutes les restrictions envers les juifs : comme l’interdiction d’aller dans les parcs, le port obligatoire de l’étoile jaune. Il a également subi les moqueries de ses camarades jusqu'à ce que les juifs soient expulsés des écoles. Ils ont été se cachés et les parents sont partis chercher de la nourriture. Il y a deux Nazis aussi qui sont en train de regarder la cabane. Le nazi, le plus jeune s'appelle Gustav, il a 25 ans, il a fait les jeunesses hitlériennes. Il croit dur comme fer aux idées d'Hitler. Le nazi le plus vieux a 37 ans, il se nomme Philip, il fait partie de l'armée nazie et a été contraint de quitter sa femme et ses enfants en 1940 pour occuper la capitale, Paris.

     

    PHILIP - Je crois avoir entendu un bruit.

    GUSTAV - Où ça ?! Je n'ai rien entendu.

    PHILIP- Viens, on va vérifier derrière la cabane. (Ils s'approchent et trouvent l'enfant.) Où sont tes parents ?! Je sais que tu es juif !

    SAMUEL- Je ne suis pas Juif ! Ici c'est ma maison ! Mes parents m'ont laissé car ils n'avaient plus assez d'argent à cause de la guerre !

    GUSTAV - Ah bon ? C'est étrange... Qu'est-ce que c'est que ça ?! Ce n’est pas une étoile ! (Il le prend par le col et lui montre la veste.)

    PHILIP - (Il fait signe à son coéquipier de se calmer.) Ah ! Tu es en train de nous dire que ton ami (En hésitant) ... Aaron c'est ça, nous a menti ?

    GUSTAV - C'est donc à lui que l'on doit s'en prendre ?

    SAMUEL - (choqué) Mon meilleur... je n'y crois pas, il m'a trahi.

    PHILIP - Je sais, c'est dur ! Mais ne t’inquiète pas, nous on est là, on va t’emmener dans un endroit bien meilleur (Il dit cela d’un ton mielleux.)

    SAMUEL - Très bien, je vous avoue tout, je ne pourrai pas vivre avec ça, je suis bien un juif, faites de moi ce que vous voulez.

     

     CHŒUR - Samuel finit alors ses jours dans les wagons à bestiaux, n'ayant pas survécu au voyage de l’enfer. Gustav quant à lui, est monté en grade. Philip lui en a eu marre, il est retourné en Allemagne pour retrouver sa famille et a ensuite déménagé dans un autre pays.


    votre commentaire
  •  

    En quoi est-il bon de se souvenir ?

                  Un souvenir, c’est quelque chose qui reste gravé dans notre tête à vie. En quoi est-il bon de se souvenir ? Tout d'abord on verra que se souvenir peut aider dans les moments difficiles. On verra aussi que se souvenir sert à raconter ce que l’on a fait étant petit.

                   Ca nous aide dans les moments difficiles comme la perte d’un être cher par exemple: Se souvenir des meilleurs moments passés avec la personne aide à ne pas être trop triste quand la personne décède. Se souvenir sert à décrire  la personne décédée. On peu raconter raconter à ses enfants comment était leur grand-père ou grand-mère avant de mourir, connaître leur mentalité, savoir si ils étaient généreux ou non.

     

                  Ca nous sert a raconter ce que l’ont a fait étant petit. Par exemple: on peut raconter à nos proches les bêtises que l’ont a fait étant petit. Se souvenir sert  aussi à raconter comment était le monde quand ont était petit. 

     

     

               Se souvenir sert à se rappeler de comment on vivait et de se rappeler des bons comme des mauvais moments passés dans notre vie.


    votre commentaire
  • Cher frère,

    lors de ma permission, j'ai eu la possibilité de voir un dessin-animé très marrant et caricatural car les allemand, les italiens etaient représenter par des canards noirs, moches et petit. Alors que les Américain était blanc beau et grand. Il y avait des moments marrant comme quand Hitler est né et qu'il avait déjà la moustache. l'empereur du Japon était très moche et à la fin il avait perdus.


    votre commentaire
  • Commando Duck

                        Mon cher ami                      3 Juin 1944

    Manhattan

           J'espère que tu te portes bien au front, malgré le fait que ta permisssion fut refusée. Tu sais, mieux que quiconque que j'avais tant besoin de sortir. Je suis donc aller au cinéma où venait de sortir un court-métrage: Commando Duck. Ce dernier raconte l'aventure de Donald Duck qui est un soldat Américain qui a pour mission de détruire la base aérienne Japonaise, seul. Il se fait parachuté, il réussi à échapper aux crocodiles puis évite les tirs ennemis qui leurs tiraient dans le dos. Après être tomber d'une cascade, son bateau gonflabe c'est alors remplie d'eau quand il eu éclaté la base ennemis fut entièrement détruite. Ce dessin-animé m'a fait rire mais ma surtout donner de l'espoir. Je pense qu'on peut remporter cette guerre.

           Au revoir Camarade, à bientôt je l'espère!

                                                                                    Kyle Jones 


    votre commentaire
  •  

     

     1) Nous avons décidé de rendre hommage à Anne Frank

    Nous nous sommes rendu à Amsterdam pour écrire un article  en s'aidant  du journal d'Anne Frank pour dénoncer les crimes de la Shoah. Puis nous avons eu l'occasion d'interviewer Otto Frank.

    2) Nous nous sommes interrogés chacun à notre tour sur l'importance de se souvenir 

    Ensuite, nous avons rédigé un texte expliquant  l'importance du souvenir et en quoi est-il bénéfique.

    3) Nous avons voulu rendre hommage aux Juifs et aux Résistants arrêtés durant l'occupation

    Nous sommes revenu à Paris, nous avons écrit une scène de théâtre dénonçant l'horreur nazie et nous l'avons ensuite mise en scène. Par la suite, nous avons publié tous nos articles sur notre blog.

     4) Nous avons voulu aussi dénoncer la propagande nazie qui a été effectuée durant la guerre

    Nous avons eu l'occasion de regarder un dessin animé de propagande datant de 1944 et à partir de cette vidéo nous avons écrit une carte postale décrivant ce dernier. Nous avons également vu en se baladant dans les rues (d’Allemagne, de Russie etc ) des affiches de propagande et nous avons décrites celles qui nous ont le plus marqué. Nous avons donc enregistré notre point de vue face à ces affiches sous forme de capsule audio.

     5)Nous avons décidé d’ancrer notre pièce théâtrale dans la France occupée pour témoigner et dénoncer le régime nazi.

       Nous avons d’abord relaté nos recherches personnelles sur le sujet (photographies, articles et histoires personnelles).Ensuite, à partir de nos recherches, nous avons écrit le texte théâtral une première fois puis nous l’avons amélioré. Par la suite nous nous sommes attribué les rôles et nous avons réfléchis à la mise en scène (les accessoires, le lieu de tournage, la musique de fond, les déplacements etc.) Nous nous sommes donné rendez-vous sur le lieu choisi. Arrivé sur place, nous avons rencontrer un petit problème, le lieu était occupé par des ouvriers. Nous nous sommes alors concerté pour décider de l'endroit ou nous allions tourner notre scène. Une fois le problème résolu nous avons commencer à jouer plusieurs fois sans nous filmer pour s'habituer à l'espace, à nos collègue. Une fois bien a l'aise nous avons filmé la scène.(Evidemment nous avons recommencé à plusieurs reprise pour que la vidéo soit la meilleure possible.

       Quelques soucis ont néanmoins perturbé notre journée lors du tournage. D'abord il nous a fallu changer d'endroit, se concentrer malgré tout, faire face au petit oubli qui reste important et parler assez fort car nous étions en extérieur. 

       En tant que groupe, nous avons bien réussi à nous entendre sur le choix du lieu, le texte, la répartition des rôles etc. Tout membres du groupe ont été attentif aux critiques, aux conseils et aux suggestions.

       Individuellement, nous avons apporté, de l'implication dans ce projet et de l’intérêt. Tous le monde a appris leurs répliques ce qui a faciliter le travail.

       Nous avons dû faire attention au vocabulaire utilisé, pour que ce ne soit pas choquant et vulgaire car la Shoah est un sujet délicat à traiter.

       

     

    -     

    -     

    -          


    votre commentaire
  • « Pourquoi est-il important de se souvenir ? 

              Le fait de se souvenir peut être agréable et bienfaisant, comme, par exemple, penser à des gens qu’on aime, de la famille, ou des ami.  Cela permet également de ne pas oublier des faits personnels, mais tout de même marquants psychologiquement, comme la mort d’un proche, ou de quelqu’un de notre entourage. Cela peut aussi endurcir une personne, son caractère,  à cause de souvenirs, qu’ils soient bons ou mauvais, comme Jean Rézeau, dans le livre Vipère au poing, un livre écrit par Hervé Bazin, qui est une œuvre majoritairement autobiographique, relatant son histoire derrière le personnage de Jean Rézeau.

                Selon moi, il est surtout important de se souvenir, pour ne pas commettre des erreurs passées, comme la Shoah, le massacre des tziganes, ou encore le génocide Arménien, des erreurs ayant affecté un grand nombre de personnes, et que personne ne voudrait vivre ou revoir un jour.

            Pour conclure, on peut donc voir, avec tout ces arguments, que le souvenir fait partie de nous, de ce que l’on est, et peut être aussi bon que mauvais. Cela peut nous aider à persévérer, à nous endurcir, nous rappeler une bonne époque, et nous faire progresser en nous aidant à ne pas refaire les mêmes erreurs, sans oublier qu’ils influent sur notre comportement, notre état d’esprit, notre avis, notre réflexion, et au final, sur ce que l’on est.


    votre commentaire
  •  

    Le bannissement face à la différence et les restrictions.

     

    En allant à Amsterdam, j’ai découvert le journal d’Anne Frank. En lisant le passage du 20 juin 1942, j’ai été choqué de voir les restrictions que subissaient les juifs. Une série d’obligations m’a particulièrement marqué :

     « Les juifs doivent porter l’étoile jaune, les juifs doivent rendre leur vélos, les juifs n’ont pas le droit de prendre le tram, les juifs n’ont pas le droit de circuler dans un autobus, ni même dans une voiture particulière… »

     Dans cet extrait, Anne Frank témoigne des atrocités commises par les nazis, et énumère par la suite toutes les interdictions révoltantes.

     La jeune fille montre ainsi la peur de la population juive, avec cette expression :

     « Je n’ose plus rien faire, j’ai peur que ce soit interdis »

     Anne Frank est sûrement elle-même terrifiée, mais elle ne transmet pas son propre effroi. C’est pour mieux dénoncer ces monstres. Ce manque de confiance prouve implicitement qu’elle projetait sûrement la publication de son journal.

     


    votre commentaire
  •                     

              Le sujet de réflexion porte sur : « Pourquoi est-il important de se souvenir ». Je pense qu'il est important de se souvenir de beaucoup de choses car lorsque une personne ne sera plus là, on pourra se souvenir d’elle. Il est aussi important de se souvenir de crimes contre l’humanité (Par exemple, La Shoah, les Ottomans contre les Arméniens). Et enfin il faut se souvenir des guerres pour ne pas oublier ceux qui sont morts pour notre pays.

             

                Cela est  profitable, de ne pas oublier un moment fort dans sa famille avec une personne car si cette personne meurt, on aura toujours des souvenirs. Dans  Vipère Au Poing , Hervé Bazin se souvient de son enfance difficile avec quelques moments de bonheur.

     

               J'estime qu'il est important de souvenir de quelque chose, pour ne pas reproduire les mêmes erreurs dans le futur. Par exemple, il est important de se souvenir de la barbarie nazie (La Shoah) pour les dénoncer et en tirer des leçons. Ces derniers ont massacré les Juifs dans les camps d’extermination, il faut par devoir de mémoire ne jamais l'oublier. Selon moi, cela apporte aussi, de ne pas reproduire les mêmes erreurs graves. (Au niveau technologique). Il est primordial de se souvenir de Tchernobyl, pour ne pas reproduire les mêmes erreurs lors du test nucléaire et améliorer les technologies. Cela permet aussi de rendre hommage, de comémorer les grands actes des héros de la 1ere guerre mondiale. Christian Carion le fait très bien dans son film Joyeux NoËl, il célèbre la fraternisation des soldats  lors de Noël dans les tranchées, sur le No mans land. 

     

     


    votre commentaire
  • Le souvenir

             Pour moi, le souvenir est l’une des choses les plus importantes que nous possédons. Il permet de se remémorer des passages de notre vie qui nous ont marqués. Le souvenir touche tout le monde et provoque en nous différentes sentiments tels que la joie, la tristesse, la colère, le chagrin, la douleur … Il y a aussi des souvenirs historiques très importants qu’il ne faut en aucun cas oublier. Ils nous montrent les erreurs du passé et le chemin à suivre.On peut donc se demander en quoi il est important de se souvenir.                                                                                                                                                                         D’une part, nous verrons qu’il peut nous donner la force nécessaire pour avancer et d’autre part, qu’il peut nous éviter de renouveler les maladresses du passé.

    Selon moi, le fait de se souvenir de moments heureux que l’on a vécus, peut nous donner la force de continuer quand rien ne va. Ces moments là sont faits pour nous donner du courage et nous montrer qu’un jour ça ira mieux. Je peux penser au film Joyeux Noël, car les soldats qui combattent au front subissent des conditions de vie inhumaines. Mais ils se battent malgré les atrocités, en se rappelant des jours heureux, qui leur ont été bénéfiques, passés avec leurs proches.    Il est aussi important de se remémorer de choses déchirantes même si cela est douloureux et éprouvant pour pouvoir rendre hommage. Par exemple, le 11 Novembre nous rendons hommage aux défunts de la Grande Guerre. On le fait aussi pour ne pas oublier que grâce aux soldats et à leur grand combat, la France est plus belle que celle qu’ils ont connue.

    Il est primordial de se rappeler, pour éviter de refaire les mêmes erreurs que nous avons commises ou qu’une tout autre personne a pu faire. Je repense à l’époque où l’Allemagne était sous l’emprise de la dictature, dirigée par Adolf Hitler. Sous l’influence de ce dernier la population, aveuglée, laisse (pour la plupart) le monstre réaliser des abominations raciales envers les Juifs.                                                                                                                                                            Il est tout aussi nécessaire de se souvenir pour accomplir notre devoir de mémoire et pour dénoncer des crimes contre l’humanité. En effet, Primo Lévi dans son livre autobiographique, Si, c’est un homme, témoigne de ce qu’il a vu dans les camps d’extermination. Il dénonce toutes les horreurs de la Shoah et la cruauté accablante des Nazis.

                Les souvenirs individuels qui donc font partie intégrante de passé peuvent provoquer en nous des émotions intenses. En se remémorant certains instants de notre vie, on est souvent nostalgique face au manque d’une personne importante qui faisait partie de notre quotidien. Et on peut par la suite éprouver du regret, regretter de ne pas avoir assez profité de ces moments précieux qui resurgissent de nos souvenirs. Anny Duperey, dans Le voile noir, décrit alors son enfance oubliée à partir d’une photo. Dans ce cas, les souvenirs perdus reviennent à la vue de cette image et doit sans doute provoquer en elle le regret de ce bonheur enfoui par le temps. Je pense que les souvenirs du passé, historiques ou pas, sont des sujets fragiles et parfois difficiles à évoquer, cela fait renaître des moments, des instants que l'on pensait avoir dissimulés ou qu’on pensait avoir oubliés.

     

    Maëly Dollé


    votre commentaire
  •  

      Pourquoi est-il bien de se souvenir ?

          Le souvenir est un élément qui reste dans notre mémoire, il nous rappelle nos moments passés proches ou même qui remontent très loin. Il n’est pas possible d’avoir des souvenirs de tout mais il est possible de  nous rappeler des moments marquants. On peut se demander dans cette mesure pourquoi il est bon de se souvenir. D’une part,  nous verrons que les repères historiques peuvent nous raconter des faits marquants et gravés dans l’histoire mais également que les moments de notre passé peuvent être de bonnes leçons pour notre vie future ou  même peuvent nous rendre nostalgique en y repensant même si le fait de se souvenir peut être dangereux.

          Tout d’abord, je pense qu’il est important de se souvenir  des dates historiques que l’on apprend tout au long de notre scolarité, je peux penser à toutes les dates que j’ai apprises en histoire même si je ne me rappelle pas de toutes.Parmi toutes ces dates, ce sont les guerres qui m’ont le plus marquée mais entre la première et la seconde, c’est la seconde guerre mondiale que j’ai étudiée cette année de troisième qui m’a le plus marquée. Je peux penser au journal d’Anne Franck où elle y raconte dedans sa vie clandestine avec sa famille dans l’annexe à Amsterdam. Elle y a vécu deux ans dans pour finalement se faire attraper, elle et sa famille .Seul son père n’est pas mort et a fait publier le journal de sa fille quelques années plus tard pour témoigner de l’horreur qu’ils ont vécue pendant tout ce temps.

            Ensuite, il me semble qu'il est primordial de se souvenir car en repensant à ces moments passés on peut ressentir des émotions comme la nostalgie ou même la haine.Cela me fait penser à Hervé Bazin qui sous le nom de Jean Réseau dans Vipère au poing  raconte l’éducation autoritaire que sa mère lui a donnée et dans son livre on peut ressentir un sentiment de haine lorsqu’il la raconte. Il est profitable de se souvenir pour se rappeler des erreurs que l’on a pu faire ou que d’autres ont pu faire pour ne pas les reproduire plus tard ou même donner des leçons. Dans L’Ami retrouvé de Fred Uhlman, il se cache derrière le personnage de Hans qui est ami avec Conrad et dans cette histoire Hans est un juif avec sa famille pendant la montée du nazisme qui a été trahi par son ami Hans.

             Finalement selon moi,  il est bénéfique de se souvenir car cela peut nous rappeler des bons comme des mauvais moments. Cela peut nous faire ressortir différentes émotions. Il peut également nous donner des leçons de vie et nous aider.  Il peut honorer la mémoire de personnes qui se sont battues pour pouvoir  nous donner la vie que nous avons maintenant. Donc je pense en général que le souvenir est une bonne chose pour améliorer notre vie mais surtout pour l’histoire de l’humanité car sans souvenirs nous ne saurions peut être pas comment était le passé et surtout ce qu'il s'est passé, comment dans Maus écrit par Spiegelman où il y raconte l’atrocité que les juifs ont subi.


    votre commentaire
  •  Présentation du père d'Anne Frank 

    Otto Frank est né en Allemagne le 12 mai 1889 à Francfort-sur-le-Main. Il a servi dans l'armée Allemande en tant qu'officier pendant la 1ère guerre mondiale. Lors de la montée du nazisme en Allemagne et des lois antisémites qui s'attaquent aux familles juives, le chef de famille décide de se réfugier, lui et sa famille, composée de sa femme et de ses deux filles (Margot et Anne), à Amsterdam aux Pays-Bas et recommencer leur vie. Mais quand la Hollande fut envahie par les allemands, Otto et sa famille subirent les restrictions données aux juives. Un jour Margot reçut une convocation aux travaux forcés... la famille dut se cacher dans l'annexe du bureau d'Otto pendant deux ans avant de se faire dénoncer et d'être tout de suite déportée. Seul Otto Frank réussit à survivre et décida de publier le journal de sa fille cadette qui avait été retrouvé par leur amie après leur arrestation. Le 25 juin 1947 Otto fit publier le Journal d’Anne aux Pays-Bas.

    L’interview d’un héros 

     Bonjour, Otto Frank nous sommes heureux de vous interviewer.

      -Bonjour, je suis heureux de répondre à vos questions.

     Comment avez vous vécu votre vie clandestine cachée dans l'annexe de vos bureaux ?

     - Pas très bien, je dois l'avouer, le fait de se réfugier là, était très risqué pour ma famille et moi-même. Si l'un des employés nous avait entendus, nous n'aurions pas pu vivre deux années à Amsterdam.

     Comment avez-vous passé vos journées dans l’annexe pendant que les employés travaillaient? 

    -On devait se lever vers 6h45 avant l'arrivée des employés. De 8h30 à 9h00, on ne devait pas faire de bruit car les magasiniers avaient commencé leur journée. (On se retrouvait dans la chambre d’Hermann et Auguste van Pels l'autre famille qui s’est réfugiée, avec nous, pour le petit déjeuner, dit Otto.) Miep Gies, l'une des personnes qui nous a beaucoup aidées, venait alors jeter un coup d’œil à l’Annexe et en profitait pour prendre la liste des courses. À 12h30, les employés rentraient chez eux et nous pouvions enfin respirer. Ensuite à 13h00, nous écoutions les informations de la BBC de Londres. À 13h15, le repas était prêt. On faisait la vaisselle et puis, c’était l’heure de la sieste. Le plus souvent Anne ne dormait pas, mais profitait de ce moment pour écrire dans son journal.  À partir de 17h30, les membres du personnel rentraient chez eux. Auguste van Pels et mon épouse préparaient le dîner. Et puis nous dînions, à des heures variées. Cela dépendait des informations à la radio.

    Avez-vous déjà lu le journal de votre fille cadette avant de le faire publiée? Si oui qu'avez vous ressenti?

    Oui, ça a été très dur de lire son journal. En le lisant, j’ai découvert une autre Anne, elle écrivait avec tant de talent. Ma fille relatait tout ce qui se passer dans l'annexe, ses sentiments face à notre quotidien se qu'elle vivait. Des fois elle nous lisait quelques passages humoristiques. Elle souhaitait tellement être un jour publiée.

     Comment c'est passé l'arrestation? Et la déportation?

    Il était à peu près 10h30, j'étais en haut, chez les Von Pels pour aider leur fils Peter à faire ses devoirs. Quand la porte s’est ouverte soudainement, un SS pointant un revolver sur nous nous a fait signe de descendre. Là, j’ai vu ma femme et mes deux filles ainsi que les autres membres de l'annexe étaient tous rassemblés les mains en l'air.

    Une voiture nous attendait au pied du bâtiment, les officiers nous ont conduits à un train de marchandises où nous étions tous entassés. Nous avons réussi à rester ensemble. Le voyage m'a paru beaucoup plus long que trois jours, mais c'était bien trois jours de voyage en train insoutenable que nous avons passé où beaucoup avait trouvé la mort.

    Dès le train arrêté, au bout de la troisième nuit, on nous a ordonné de sortir du train et d'y laisser nos bagages. Les SS nous ont séparé des femmes et des enfants, ça a été la dernière fois que j’ai vu ma femme Edith et mes deux filles Anne et Margot.

    Comment avez vous vécu la mort de votre épouse et de vos filles?

    J'ai d'abord appris la mort de ma femme lors de mon retour, ce qui m'a beaucoup affecté. Puis j'ai commencé à mettre des annonces dans le journal pour savoir ce qu’était devenu de mes filles, si elles étaient encore vivantes. Je gardais espoir qu'un jour elles reviendraient et j'ai attendu, attendu, jusqu’aux jours où j’ai appris la mort de mes enfants ayant eu le typhus trois mois après être arrivé à Bergen-Belsen.

    Pourquoi avez-vous décidé de publier le journal?

    J’ai décidé de publier son journal, car elle voulait se servir de ce dernier pour en faire un livre. Et pour témoigner des atrocités que nous avons vécu tout au long de la guerre.

     

    La vérité de la vie clandestine de la famille Frank

    La vérité de la vie clandestine de la famille FrankLa vérité de la vie clandestine de la famille Frank

     

     


    votre commentaire


    Suivre le flux RSS des articles de cette rubrique
    Suivre le flux RSS des commentaires de cette rubrique